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prochain, au moyen de quoi les dits bénédictins ont spolié la juridiction que les suppliantes ont en la dite seigneurie. »

C'est à l'occasion de cette affaire que fut rédigé un mémoire qui se trouve aux archives de la préfecture, et qui restreint singulièrement, au profit de l'abbaye, les prérogatives des seigneurs voués de son ban.
Cependant, par transaction du 22 janvier 1669, les religieux abandonnèrent toutes leurs prétentions, et échangèrent leur métairie de Chérisey contre un autre bien rapportant 30 quarte



quarte

Ancienne unité de mesure de capacité d'une valeur de 2 pintes (une pinte = 0,93 litre)


Petit Robert 1997

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s, dans un lieu où ils avaient déjà des possessions. Charles de Chérisey réunit ainsi toute la terre de Chérisey, car la ban de Sainte-Glossinde avait été racheté précédemment.
La métairie qui devait être donnée en échange n'ayant pas été trouvée à sa convenance, Charles de Chérisey et ses successeurs payèrent la rente de 30 quarte



quarte

Ancienne unité de mesure de capacité d'une valeur de 2 pintes (une pinte = 0,93 litre)


Petit Robert 1997

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s , et c'et ce qui a fait dire que Saint-Symphorien était décimateur



décimateur

Celui qui était chargé, sous l'Ancien Régime, de percevoir la décime qui était une taxe que le roi prélevait sur les revenus du clergé.


Petit Robert 1997 ....

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à Chérisey.
En 1791, cette rente fut évaluée à la somme de 5 977 l. 14 s. 8 d. en principal, et 294 l. 10 s. 8 d. d'arrérages, en y comprenant 9 quarte



quarte

Ancienne unité de mesure de capacité d'une valeur de 2 pintes (une pinte = 0,93 litre)


Petit Robert 1997

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s six gros, une poule ½ dus à Saint-Arnould pour le retour de l'aliénation faite avant l'année 1112 par Cunégonde, et acquittée par M. le marquis de Chérisey, lieutenant-général, mort en 1794, comme il a déjà été dit.
Une charte attribuée par les capulaires de Sainte-Glossinde, dont elle est le plus ancien titre, ainsi que par l'enquête de 1498, à Louis-le-Débonnaire eb 821, et par les bénédictins, dans l'histoire de Metz, à Louis-le-Germanique en 875, ordonne la restitution à cette abbaye des biens qu'elle possédait en différents lieux et entre autres à Carisiacum.
Une autre charte de Thierry Ier, évêque de Metz, du 1er février 962, selon les bénédictins, et qui vient d'être publiée avec un grand luxe typographique sous la date de 968, rappelle aussi Carisiacum.
Une bulle d'Innocent II, du 28 avril 1139, mentionne encore Carisiacum avec toutes les églises
dépendantes de Sainte-Glossinde. On ne sait pas au juste quels étaient les droits de cette abbaye, pas plus que ceux de Saint-Symphorien. Elles avaient leurs hommes, c'est-à-dire habitants, leur ban; percevaient leurs revenus, et administraient par un maire et un échevin nommés par le voué, sans pouvoir assembler les plaids. Ayant voulu s'arroger ces privilèges, Christophe de Chérisey réclama, et une longue enquête fut commencée le 28 août 1498.
Terminée seulement en 1502, elle rappelle tous les titres de l'abbaye, et en première ligne la charte de 821. Des reproches et salvations furent faits de part et d'autre; mais le jugement resta inconnu.
De nouveau démêlés s'étant élevés entre Mme Louise de la Valette et de Jean de Chérisey, à la mort de celui-ci, une instance fut commencée le 26 mai 1629, par Mme Marthe de Chauveau, sa veuve, et Jean de Chérisey, seigneur de Ménil-la-Tour, son cousin et curateur de ses enfants :

« pour et à l'occasion des droits seigneuriaux tant en régale qu'en